Vincent Es-Sadeq vit et travaille à Paris. Il écrit et photographie. Il aime à imaginer des livres de texte et d’image, où les mots et les photographies se parlent, se répondent.
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Quelques jalons biographiques :
1971 : commence à regarder autour de lui ;
1978 : naît à la poésie en se voyant offrir un livre peint à la bouche ;
1989-1996 : étudie tout sauf l’expression artistique, croit à la malédiction du travail comme entrée dans le monde ;
1996-2012 : travaille dans les Palais Nationaux, cherche de la poésie dans l’exercice du pouvoir ;
2012 : trouve comment photographier sans s’encombrer ;
2013-2015 : prend le RER, écrit des poèmes ;
2016 : en plein enfer social, travaille sa voix. Depuis, il crée.
Réalisations
Livres de poésie photographique : l’amour au temps du Charolais, Combattre le soleil, Il n’y a pas de mauvaise herbe ;
Recueils : nouvelles érotiques « Fétiches et autres bestioles » ; poésie « La Propriété des choses » ;
Projection : « a perfect day », d’après le titre de Lou Reed : un « journal secret des regrets et des peurs, des jours et des nuits, à apprendre la mort des jours meilleurs ».
Portfolio : « un rêve se jette à la mer ».
Poème audio : cinquante-sept pièces, chant funèbre du père.
Travaux en cours :
Texte et images : « Et toi, qu’as-tu fait de notre famille, une variation singulière sur le thème de Boucle d’Or
Texte : Odyssée de M, poème politique
Récompenses :
S’applique les mots de Valéry « Une œuvre doit laisser à son auteur le sentiment qu’il a découvert et organisé une partie de soi. C’est là le bénéfice net et réel, qui n’est pas l’œuvre – mais l’avoir-fait-l’œuvre. L’on se dégage ainsi de l’évaluation par autrui. Pour moi, ce que me rapporte une œuvre = ce qu’elle m’a coûté ».
Généralement, je ne vais pas sur les sites en partage. Et puis il y a certaines surprises…. Heureux de cette découverte. Bon vent, belles lettres.
Cordialement
BML
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