« D’où la nécessité aujourd’hui de lutter pour la Poésie : la Poésie, je dirais, devrait faire partie des Droits de l’homme ; elle n’est pas « décadente », elle est au contraire subversive : elle est subversive et vitale parce que précisément elle est ce qui est visé par la grégarité, par la barbarie, par la forclusion des nuances, des particuliers, des individuations. »